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Pourquoi faire appel à un correcteur professionnel ?

Qui n’a jamais refermé un livre, ou quitté un site internet car il était truffé de fautes ?

Avouez qu’il serait dommage que des avis négatifs soient publiés sur des plateformes de vente en ligne ou des blogs littéraires alors que l’histoire est intéressante… ou de louper des clients potentiels car votre site internet présente une faute toutes les deux phrases et fait mauvaise impression.

La langue française est complexe, elle regorge de règles et d’exceptions plus ou moins maîtrisées par la plupart des Français.

Méconnue, la relecture-correction s’attache au respect du bon usage orthographique et grammatical et des règles typographiques (ponctuation, espaces, usage des majuscules, énumérations, etc.). Un soin attentif est apporté à la construction des phrases, à la cohérence du texte, à la vérification des informations (dates, orthographe des noms propres par exemple).

Métier de l’ombre, il est pourtant essentiel.

Être bon en orthographe ne suffit pas, ce métier impose une réelle formation pour apprendre toutes les subtilités et les exceptions (et il y en a beaucoup…) de la langue française.

Le lecteur-correcteur n’est ni un dictionnaire, ni une grammaire, ni un livre de conjugaison sur pattes. Il ne peut pas tout savoir  c’est pourquoi le Bescherelle pour la conjugaison, les dictionnaires en ligne (Larousse, Le Robert, etc.), les ouvrages traitant d’orthotypographie sont ses meilleurs amis. Il sait où trouver les réponses.

Le lecteur-correcteur ne connaît pas votre texte : il portera un œil neuf et objectif sur votre écrit et saura détecter des incohérences.

Il n’intervient pas sur votre texte si celui-ci n’est pas fautif, il n’a pas vocation à réécrire votre texte, il peut néanmoins vous faire des suggestions mais vous êtes libre d’accepter ou non.

Les correcteurs orthographiques (tels que Antidote ou Prolexis) apportent une aide non négligeable, mais ils ne suffisent pas, loin de là.

Ils peuvent induire des erreurs là où il n'y en a pas, ou au contraire pointer des erreurs qui n’en sont pas. Ils ne savent pas non plus analyser les incohérences éventuelles du texte (comme par exemple l’un des personnages qui aurait 30 ans au début de l’histoire et qui fêterait ses 28 ans à la fin), ou prendre en compte le style de l'auteur (absence de négation voulue par l'auteur par exemple).

Si nous travaillons ensemble, je m’engage à vous fournir un travail de qualité, effectué dans la rigueur et la bienveillance.

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